David ATTIA , 31 ans. Juriste en droit privé.
Suppléante : Mathilde Rousseau, 26 ans, directeur opérationnel dans une entreprise privée
le suivre sur X/Twitter : David Attia (@DavidAttia5) / X
Parcours politique et convictions
David Attia entre en politique à 18 ans en 2009 au sein de l’UMP et auprès de Pierre LELLOUCHE. Il fut attaché parlementaire. Il a fait partie de l’équipe de campagne de François Fillon en 2017 et a été élu comme conseiller national du parti LR en 2021. Il rejoint Reconquête avant la présidentielle de 2022 suite à des échanges avec Sarah Knaffo qu’il a connue à l’assemblée lorsqu’il était assistant parlementaire. Il fut candidat aux élections législatives de 2022 à Paris dans la 1ère circonscription. Durant ses 18 années d’engagement politique, il a démontré une réelle capacité à travailler avec les différents partis de droite. Il continue à échanger avec des membres de ces partis, de toutes sensibilités.
Mathilde Rousseau a commencé à militer au sein du parti des Républicain puis elle s’est rapprochée du parti Reconquête ! dès sa création. Les AFC du 15ème l’avaient rencontrée lors de la législative de 2022. Elle accompagnait alors les candidats des 12ème et 13ème circonscriptions. Mathilde Rousseau fait partie d’une fratrie de 5 enfants.
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| rencontre dans un café du XVeme |
Il pense que, pour redonner au peuple la confiance dans ses élus, il faut s’assurer de l’exécution des lois et contrôler l’effectivité de leur application.
David Attia s’interroge et s’inquiète des pertes de repères dans notre société. Il prend pour exemple les demandes de changement de sexe pour les mineurs. Pour lui, le constat de cette perte de repères doit inciter à renforcer l’éducation des fondamentaux de notre pays, des fondements de notre culture. Sans transcendance et notamment sans religion, qui sont un guide dans la vie, cette perte de repères devient critique.
Les deux candidats sont en phase avec la lettre ouverte adressée par les AFC aux candidats aux élections législatives.
Politique publique : prendre des décisions, contrôler leur exécution
David Attia insiste sur le rôle du politique, qui est différent de celui de l’administration. Il cite à ce titre la décision de Gabriel ATTAL lorsqu’il était ministre de l’éducation nationale d’interdire le port de l’abaya pour combattre les atteintes à la laïcité : une prise de décision rapide suivie d’une circulaire et le transfert de la responsabilité aux échelons d’exécution. Lorsque l’on prend une décision il faut l’appliquer et notamment soutenir les agents au contact du terrain, pour qu’ils puissent effectivement la mettre en œuvre. Il est donc possible de faire bouger les lignes.
Ecole : redevenir le lieu de l’instruction.
Le candidat estime qu’il faut employer les mots justes et être précis sur les termes. L’école a pour rôle d’instruire les enfants.
Il faut mettre fin à la propagande Woke, qui trouble les esprits par des concepts mensongers tout en instillant de la confusion pour détourner d’une juste appréciation des réalités. David Attia souhaite limiter les interventions des associations militantes dans les établissements scolaires pour recentrer le travail des professeurs sur les domaines académiques.
Ayant été formé dans des écoles privées sous contrat, il est attaché à la liberté des parents de choisir l’école de leurs enfants. Il soutient le principe du hors-contrat. Pour autant, il relève que des contrôles doivent permettre de détecter les dérives telles que celles observées avec le lycée Averroès
Il reconnaît qu’il faut trouver les moyens de lutter plus efficacement contre l’accaparement de la vie des enfants et des adolescents par les écrans.
Enfant et allocations familiales : un investissement pour notre pays
David Attia soutient la proposition de ne plus mettre sous conditions de ressources les allocations familiales. La recherche absolue de rentabilité économique n’est pas une fin en soi et ne doit pas dénaturer la volonté politique. Ainsi, la famille est une structure de base que la société doit soutenir de façon universelle. Selon lui, sa préservation comme sa protection permettent de renforcer la société. En ce sens, ce n’est pas un poste de dépenses mais un investissement présent et futur pour la nation.
Famille : des droits mais aussi des devoirs comme l’éducation
Pour David Attia, la famille est responsable de l’éducation des enfants. Il faut trouver un moyen de renforcer la responsabilité des familles tout en les accompagnant dans cette responsabilité avec, au besoin, des outils de formation. Il s’agit de bien équilibrer les droits et les devoirs.
A contrario, il questionne le modèle du service national universel qui semble déresponsabiliser les parents et pourrait dériver en opération de propagande.
En conclusion, il reconnaît que la famille doit être vue comme une politique transversale de plusieurs compétences ministérielles notamment l’éducation, le logement, la santé, la démographie.
David Attia s’interroge et s’inquiète des pertes de repères dans notre société. Il prend pour exemple les demandes de changement de sexe pour les mineurs. Pour lui, le constat de cette perte de repères doit inciter à renforcer l’éducation des fondamentaux de notre pays, des fondements de notre culture. Sans transcendance et notamment sans religion, qui sont un guide dans la vie, cette perte de repères devient critique.
Les deux candidats sont en phase avec la lettre ouverte adressée par les AFC aux candidats aux élections législatives.
Politique publique : prendre des décisions, contrôler leur exécution
David Attia insiste sur le rôle du politique, qui est différent de celui de l’administration. Il cite à ce titre la décision de Gabriel ATTAL lorsqu’il était ministre de l’éducation nationale d’interdire le port de l’abaya pour combattre les atteintes à la laïcité : une prise de décision rapide suivie d’une circulaire et le transfert de la responsabilité aux échelons d’exécution. Lorsque l’on prend une décision il faut l’appliquer et notamment soutenir les agents au contact du terrain, pour qu’ils puissent effectivement la mettre en œuvre. Il est donc possible de faire bouger les lignes.
Ecole : redevenir le lieu de l’instruction.
Le candidat estime qu’il faut employer les mots justes et être précis sur les termes. L’école a pour rôle d’instruire les enfants.
Il faut mettre fin à la propagande Woke, qui trouble les esprits par des concepts mensongers tout en instillant de la confusion pour détourner d’une juste appréciation des réalités. David Attia souhaite limiter les interventions des associations militantes dans les établissements scolaires pour recentrer le travail des professeurs sur les domaines académiques.
Ayant été formé dans des écoles privées sous contrat, il est attaché à la liberté des parents de choisir l’école de leurs enfants. Il soutient le principe du hors-contrat. Pour autant, il relève que des contrôles doivent permettre de détecter les dérives telles que celles observées avec le lycée Averroès
Il reconnaît qu’il faut trouver les moyens de lutter plus efficacement contre l’accaparement de la vie des enfants et des adolescents par les écrans.
Enfant et allocations familiales : un investissement pour notre pays
David Attia soutient la proposition de ne plus mettre sous conditions de ressources les allocations familiales. La recherche absolue de rentabilité économique n’est pas une fin en soi et ne doit pas dénaturer la volonté politique. Ainsi, la famille est une structure de base que la société doit soutenir de façon universelle. Selon lui, sa préservation comme sa protection permettent de renforcer la société. En ce sens, ce n’est pas un poste de dépenses mais un investissement présent et futur pour la nation.
Famille : des droits mais aussi des devoirs comme l’éducation
Pour David Attia, la famille est responsable de l’éducation des enfants. Il faut trouver un moyen de renforcer la responsabilité des familles tout en les accompagnant dans cette responsabilité avec, au besoin, des outils de formation. Il s’agit de bien équilibrer les droits et les devoirs.
A contrario, il questionne le modèle du service national universel qui semble déresponsabiliser les parents et pourrait dériver en opération de propagande.
En conclusion, il reconnaît que la famille doit être vue comme une politique transversale de plusieurs compétences ministérielles notamment l’éducation, le logement, la santé, la démographie.
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